Maillot de lens 2022

Le 11 novembre 1989, on estime entre 15 000 et 17 000 le nombre de spectateurs dans le stade pour la réception de l’Olympique de Marseille, ce qui constitue le record d’affluence à Venoix. Au tour suivant, le RC Lens reçoit à nouveau, cette fois un adversaire de première division, l’Olympique lyonnais. Il fait sa première apparition sous les couleurs du club normand le 28 octobre 2014 face à Clermont en Coupe de la Ligue, puis en Ligue 1 face au FC Metz le 1er novembre : il remplace Yrondu Musavu-King, blessé, à la 41e minute de jeu ; la fin du match est pénible pour lui. Le match retour au stade Francis Le Basser permet aux supporters caennais de se déplacer en nombre. L’affluence est maigre, à peine 161 entrées payantes mais ce sont les supporters caennais qu’on entend. Ce qui passionne les Caennais, ce sont les derbys caennais contre l’US Normande.

L’US Orléans évolue au stade de la Source, construit dans les années 1970 dans le quartier éponyme. À l’issue de la saison 1991-1992, la Brigade Vikings quitte son emplacement initial pour monter dans la partie supérieure du virage Venoix, au même niveau que les Hund Boys. Venoix, maillot lens sainte barbevv dans une référence plus anglaise que la Brigade Vikings. Bien que le stade ne soit qu’à moitié rempli, la plupart des spectateurs sont massés dans le virage Venoix. La Brigade Vikings tente d’importer la culture tifo au stade de Venoix. Après un match, c’est le conflit entre les Vikings et « les blaireaux ». Les supporters savent répondre présent quand il le faut, c’est le cas à la fin de la saison 1976-1977 où le club lutte pour ne pas descendre en troisième division. À partir de 1976, le club des supporters établit son quartier général au club-house, nouvellement construit, tenu par Yvette. Sporting Club du Temple (fondé en 1933) et de la Jeunesse Sportive Toulonnaise alors que la Seconde Guerre mondiale n’est pas encore terminée. Les supporters du SM Caen aiment se déplacer quand les distances ne sont pas trop importantes. Lors du dernier match de la saison 1983-1984 contre la réserve de Nantes, deux cars sont affrétés par le club des supporters au stade Marcel-Saupin.

Le VAFC dispute le premier match de son retour en Ligue 1 le 5 août 2006, au stade de l’Abbé-Deschamps à Auxerre. Après ce match, un groupe d’amis décide de suivre le Stade Malherbe aussi bien à domicile qu’à l’extérieur. Mais la cohabitation entre le groupe officiel, Allez Malherbe, et les jeunes du virage Venoix n’est pas toujours facile. L’enthousiasme de la première saison en D1 ne retombe pas et les supporters viennent de plus en plus nombreux au stade. Le terme ultra apparaît pour la première fois au stade de Venoix lors du match contre Marseille sur une banderole dans le virage Venoix. Le match contre Lorient se déroule dans « une ambiance folle. Ils militent pour le retour à une ambiance plus en phase avec la réputation qu’est celle du Stade Félix Bollaert, notamment par la fin des places assises en tribunes populaires. Pour sa préparation, du fait des contraintes sanitaires, le Racing fait le choix d’affronter des adversaires proches géographiquement et que les matchs se jouent dans la région : à Billy-Montigny face au Standard de Liège et l’Union Saint-Gilloise à huis clos, des doubles confrontations de 60 minutes face au Havre AC et au Stade de Reims devant un public limité.

La Première Guerre mondiale et les destructions que la guerre provoque dans la commune entraînent l’arrêt des activités du club. La montée en première division, en 1988, provoque l’arrivée de nombreux nouveaux supporters. La saison 2010-2011 est la première depuis 1991-1992 à voir un autre club alsacien jouer dans le même championnat que le Racing. Près de 6 636 spectateurs sont présents au stade pour voir le Racing Paris en 32e de finale de la coupe de France le 8 janvier 1956. Après ces épopées, le club traverse une crise qui le relègue dans le championnat de division d’Honneur de Normandie. ↑ Jean-Louis Buisson, « Coupe de la Ligue : Une finale de bon augure », Foot, Hebdomadaire de la FFF, no 194, 30 juillet 1994, p. Ils étaient tous présents en Ligue 1 un an (Metz, Strasbourg) ou deux (Caen) auparavant. Lors de la saison 2016-2017, la bande centrale est remplacée par 14 fines rayures rouges bordées de chaque côté par deux fines rayures blanches, le tout faisant 16 bandes pour évoquer le 16e, arrondissement où se situe le Parc des Princes. Son compatriote Brian Stein confirme l’impression : « les supporters de Luton font beaucoup de bruit, mais ce n’est rien à côté de deux de Caen.